©Komikku |
❤❤❤❤
Le Maître des livres, tome 5, Umiharu Shinohara, Komikku, août 2015, 208 p., 9791091610834
La petite histoire
Dans ce tome, l'histoire se concentre sur le passé de jeune étudiante de la propriétaire de la bibliothèque jeunesse de la Rose Trémière, Madame Aoi. En parallèle, les différents personnages fréquentant la bibliothèque continuent à se côtoyer et apprennent à se connaître.
Dans ce tome, l'histoire se concentre sur le passé de jeune étudiante de la propriétaire de la bibliothèque jeunesse de la Rose Trémière, Madame Aoi. En parallèle, les différents personnages fréquentant la bibliothèque continuent à se côtoyer et apprennent à se connaître.
©Umiharu Shinohara |
Le contexte de lecture
J'ai décidé de lire ce tome dans le cadre du challenge PrinTemps de Lire, menu "destination Asie".
J'ai décidé de lire ce tome dans le cadre du challenge PrinTemps de Lire, menu "destination Asie".
Le mangaka
Umiharu Shinohara propose une série de manga à la thématique inhabituelle et que j'adore explorer : celui de l'univers des livres et son interaction dans la construction de l'identité.
Le 15ème tome est sorti en mars 2018 et termine la série.
L'intrigue
Cette fois, l'on s'intéresse à la vie d'étudiante de Madame Aoi. Elle a choisi de poursuivre ses études plutôt que de se marier comme la plupart de ses camarades. On découvre qu'elle avait un amour de jeunesse mais que celui-ci devait reprendre la ferme familiale, étant l'aîné, et il devait renoncer à son amour de la littérature.
Les conditions des jeunes Japonais dans les années 50-60 sont ici évoquées et montre l'importance du carcan familial. Et même si les conditions féminines sont plus rudes, les garçons avaient des responsabilités qu'ils ne pouvaient pas décliner.
Le plaisir de la lecture n'est pas oublié et aide les différents personnages à faire leur choix et à comprendre leurs motivations profondes.
Cette fois, l'on s'intéresse à la vie d'étudiante de Madame Aoi. Elle a choisi de poursuivre ses études plutôt que de se marier comme la plupart de ses camarades. On découvre qu'elle avait un amour de jeunesse mais que celui-ci devait reprendre la ferme familiale, étant l'aîné, et il devait renoncer à son amour de la littérature.
Les conditions des jeunes Japonais dans les années 50-60 sont ici évoquées et montre l'importance du carcan familial. Et même si les conditions féminines sont plus rudes, les garçons avaient des responsabilités qu'ils ne pouvaient pas décliner.
Le plaisir de la lecture n'est pas oublié et aide les différents personnages à faire leur choix et à comprendre leurs motivations profondes.
Les personnages
Nous retrouvons "champignon" qui malgré la distance qu'il essaie de mettre entre lui et les usagers de la bibliothèque à toujours un œil sur ceux qui sont en mal-être. Ici, il surveille une petite fille en manque d'affection et qui voudrait voir sa famille s'agrandir.
Nous retrouvons "champignon" qui malgré la distance qu'il essaie de mettre entre lui et les usagers de la bibliothèque à toujours un œil sur ceux qui sont en mal-être. Ici, il surveille une petite fille en manque d'affection et qui voudrait voir sa famille s'agrandir.
©Umiharu Shinohara |
Ce que je retiens de ce manga...
Une nouvelle tranche de vie qui en dévoile un peu plus sur les usagers de la bibliothèque jeunesse et touche au coeur comme à chaque fois. Beaucoup de sensibilité, de réflexion sur la construction de sa propre identité.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Et vous, que pensez-vous de ce livre ?